TRACES AVANT 2009
la souplesse ( 49X62 cm )
le plongeon ( 26x46 cm)
peut il y avoir un choix sans regret ?
la souffrance (50x68 cm )
Le bisou des éléphants ( 47x68 cm )
la mère ( 47x69 cm )
l'Amoureux ( 16x34 cm )
le copain ( 38x60 cm )
la vengance ( 42x52 cm)
la force du temps ( 54x68 cm )
le bout du monde ( 44x69 cm)
l'adversité ( 20x46 cm )
l'offrande ( 48x69 cm )
la naissance ( 69x50 cm )
roc et eau ( 46x69 cm )
la femme ( 8x16 cm )
la danse ( 28x44 cm)
l'horizontale est calme
la verticale s'agite
c'est la croix qui dit tout!
l'espion ( 50X68 cm )
au prés de mon arbre ( 17x23 cm )
le monde du silence ( 34x44 cm )
Vieux chêne du souvenir
Du temps de ta grandeur
L’homme du ressenti
Puisait à ton contact
Son énergie vitale.
Puis les temps ont changés,
Après bien des tempêtes
Tes branches torturées
Inquiètent l’homme géométrique.
Tu meurs en couleurs
Avant que d’être noir,
En disant à bientôt
Pour renaître d’espoir.
ne t’inquiète pas vieux chêne
les morts avec obstination
posent les bonnes questions
que les vivants ont evités.
je te parle si vite
tu reponds si lentement!
le vieux ( 51x67 cm )
l'ombre ( 46x68 cm )
la colonie ( 50x69cm )
la danse du tronc ( 70x43 cm )
le grand chêne du carrefour Raymond
Pourquoi lui
Isolé, solitaire,
Au milieu de tous,
Eternel plus grand
A cet instant, maintenant,
Est-il là,
Plus vieux
Mais plus beau
Plus fort et plus calme
Plus solide et plus droit ?
Il régne de ses ans
Qui ont pris forme ici
Allant de la terre au ciel
En indiquant
De toutes ses branches
Les chemins d'ici bas.
La forêt à son alentour
Pousse vie et meurt
En saluant sa grandeur;
Rester soi-même
En changeant toujours,
Etre force d'exister
Pour pouvoir donner
Sans peur de disparaitre.
Cette energie ne peut que renaître
Ici là ou ailleurs
Qu'importe toujours elle existe.
Mon frère d'arbre
Je salut ton genie
Qui te donne cette forme
Nous sommes même energie
Mais tu es le plus fort.
TRACES 2009
L’orchidée
Je vois refleurir
L’orchidée habituelle ;
Peut elle sans mourir
Etre toujours ma belle ?
Cet éclat de jadis :
Au rythme des saisons
Peut il sans mépris
Parfumer la raison ?
La racine vieillie ;
Es-ce pour mieux nourrir
L’éclat embelli
De ce nouveau sourire ?
Puis-je arroser,
Jardiner la tendresse,
Renaître, d’oser
Aimer encore ma maîtresse !
la fête
La raison ne dit pas toujours
Comment coule les larmes,
Mais sans le rire et les pleurs
Les paroles sont muettes.
la forêt
Mais comment si prendre
Entre le ciel agité des ressentis
Et les racines qui poussent au rationnel.
Trop de questions, tuent !.
couché de montagne
Le soleil du soir
la force tranquille
C’est pas si simple d’être encore caressé
Par celle qui vous connaît si bien !.
Le pie vert
Sur la branche qui balance
Il mitraille du bec le pauvre ver,
C’est la peur du pie vert
Dans la tête qui raisonne .
Les tambours tuent
Les vers et les soldats !
le rendez-vous
les cicatrices
La vie c’est semer,
On subit les tempêtes
Mais on pousse en douceur !
le dialogue ( 68 x 44)
le boumerang (30 x 45)
le heron ( 68 x 47 )
la rencontre ( 68 x 47 cm )
l'hêtre tortueux
le châtaignier
l'air pressée
le laboureur
la libellule
Elle observe le noir
Cherchant le limpide
Pas facile de savoir ou atterir en 2012!
pourquoi on aime ?
( 42 X 46 cm )
Méditer sur les traces qui font vivre
( 15X19 cm )
Les hésitations
( 68X44 cm )
les désirs et les craintes,
toujours ensemble voyagent
pour faire hésiter !
La liberté de butiner
ou les devoirs du pouvoir ?
non le devoir de butiner !
on aime pas toutes les formes
seulement celles qui existent !