Pour traverser le désert
Il faut prendre de la hauteur !
La mort est continuité
Mais la mort de la forêt
Est bien la fin
De ce qui est concevable
Tu as sculpté le souvenir.
Un éclair hors temps
Qui reste toujours disponible
Si on prend le soin de repenser à lui :
Vieillir c’est un peu vivre d’invisible !
Doux Nikabe cache chatte !
Le bagnard vertical
Tes racines s’instruisent en la terre nourricière,
Tu offres ton énigme aux regards des curieux.
Personne ne sait où tu puises ton art,
Mieux qu’un savoir, tu es belle !
Voir la nuit :
Larguer le vieux savoir,
Regarder les nouvelles inconnues.